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Affichage des articles du 2018

La perte.

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L’altercation. Que de temps libre pour taxi driver depuis le jour ou il a faillit cogner un « super-viseur », une sorte de chien/lèche cul d’un petit patron à la con, qui possède trois taxis et plein de pneus, des usés surtout, le super-viseur se trouve être son gendre, imaginez l’histoire des deux personnages : « El'ma'ashi (المعاشي)un jeune métisse qui débarque à Casa, venant du pays du soleil, des « lumières » qui aurait fait le bonheur des frères Lumières, Ouarzazate ville cinéma et de l’imaginaire.  Mais   El'ma'ashi  quite son beau patelin et vient grandir entre les pneus, crevaisons, « pièces » et toute une panoplie d’huile moteur, filtres et graisses hideuses, le garage est si graisseux   qu’il « retient » tout les briques à braques, traces   des année de labours, Elyashi   a grandi là et fini en "pneu usé",  penchant de Christine à exprimer et  décrire les comportements et sentiments du gars et son sens de la droiture, il épouse

La Polarité.

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Taxidriver va retrouver "sa" toubib/écrivaine , rencontrée dans l'article (le Hasard), elle avait demandé après Christine pour la déposer à Miami-Plage, question de fuir la "Déculture", les "cons", pourtant ils figurent parmi ses patients, c'est un samedi matin, elle envisage donc de prendre une pose, se ressourcer pour reprendre sa croisade contre la connerie, Christine vire une demie heure avant le rendez-vous pour échapper un embouteillage "monstre", le ciel la suivit et vira au gris jusqu'à en devenir pourpre et s'est mis à "pleurer" une agréable pluie fine, bizarrement aucune main ne halait plus taxi-driver, Christine s'était faite "invisible" pour rejoindre, comme qui dirait une "semblable", une "âme sœur" ... sms:"tes projets de plage ont "foirés" ? "          " je n'sais pas mais, j'ai des courses à faire, et tu me sera de bon secours, j

Le sac de Salima

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Elle a insisté à monter dans ce putain de bus, malgré les conseils de son "amie", sa mère est dans un "sale état", les médecins promettent multiples interventions pour la remettre en "état", il a suffit qu'elle se retrouve en "milieu sain" pour entamer discussion et plaisanteries, "putain de SAC", l'encombre, elle le confie à une dame "assise" et se retourne à son "audience grossissante".... Christine ralentit son allure à la vue de l'harmonieuse silhouette mais avec un tic : les yeux hébétées ! " C'est toi qui a oublié un sac dans le bus, je t'ai vu avant de monter dans ce taxi..." (le client derrière)...  (Il s'appelle Christine ce taxi Connard, bon du calme, les yeux et les gestes de ce clown de taxidriver vont surement venir à bout de ce putain désarrois qui vient perturber la quiétude permanente de cet ange, le regard hagard vire doucement vers l'amusement, puis comme

Le Hasard

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Alfa Place, des stands ou se sont attablé écrivains et écrivaines, présentant leurs « écritures » à la « solde » d’une association qui avait réussi à les « amasser » tous dans ce magnifique espace sur mer, taxidriver y retrouve une « vieille » amie « virtuelle » sur Facebook depuis 2013 et Christine s’y fait dédicacer « Au café des faits divers » comme suit : A Christine.. Une Icône.. Un mythe.. Une Flamme..                          Bouthayna. Taxi-driver vagabonde dans cet espace littéraire, discute et contemple, Abdellah Taya l’homo, Wassili Laaraj le « géant » et Mahi Ben Bin le fils du « fou du Roi », et un paisible visage juste à coté, Christine en « démon » insuffle à TD : « N’est ce pas la dame du documentaire que tu as vu par « hasard » sur la première chaine, le jours ou tu as allumé le poste, question de se divertir les yeux pendant que tu engloutis ton repas tardif à 16 heure ? Ça relatait différentes histoires de disparition d’être chers  dont Vigon et sa

Histoires de "Q" subsahariennes.

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  Dernière course le soir; assez longue jusqu'à Casa-port, il se confesse à Taxidriver, il est béninois, très classe, un français parfait, il a les yeux bridés comme un chinois, avec sa peau "sombre" il est vraiment beau-gosse ! TD lui demande, après un brin de "causette" s'il était marié?... _"mon problème avec les filles c'est que je n'arrive jamais à me stabiliser dans une relation, je ne sais toujours pas comment ça marche une "femme" ?...je rompe à chaque fois pour recommencer à nouveau, actuellement je suis avec une fille que je connais depuis 14 ans (il est diplômé à l'ENCG et travail à Rabat), dont 13 on étaient des amis, depuis un an, son compagnon s'éloigne d'elle, et notre amitié vire pour une "relation" (ils couchent, pour les nuls), voilà que le gars se repointe, comme elle espérait de lui une "vie conjugale", elle lui cache ma présence (dans son lit) et couche avec lui au

Le Confessionnal.

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  Tout le monde est aux petits soins pour elle, entourée de filles et garçons, attablés dans un coin de cette espace de vie nocturne, liqueurs et friandises, rires et plaisanteries, pourtant son regard scrute la salle et revient sur un axe définit, passe parmi tant de têtes pour se figer sur un beau visage, des sourcils épais à se joindre, des yeux noir garnis de longs cils, on dirait un prince arabe avec une dense chevelure qui semble rejoindre la pilosité de son arcade par un « v » sur son front. Leila, ou princesse Leila comme elle est connue dans le coin, riche jeune dame, elle serait l’épouse marocaine d’un diplomate arabe au Liban, maintient son regard sur le jeune homme, n’écoutant plus le brouhaha autour d’elle, un regard si perçant qu’il fait détourner les yeux du « Omar Sharif » à la fleur de l’âge, il n’était pas du tout habitué à ses boites de nuit de Ain Diab, il était là pour faire plaisir à des amis qui l’ont invité, leurs regards s’interfèrent et se figent

La mort.

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-Le vieux. Il a l’air d’un mendiant, plié en deux, encombré d’une canne et une chaise dépliable en fer et tissus de nylon, TD a hésité un moment de le prendre, mais détestant toutes les « hogras » quelle qu’elle soit, sa voix intérieur lui ordonne de s’arrêter, ou plutôt c’est Christine qui le fait d’elle-même, une longue course jusqu’au centre-ville, il sort un billet de 100 balles, comme s’il aurait deviné ce qui s’est tramé un instant plus tôt dans la citrouille de TD. « c’est en ces jours de fête qu’on reconnait Casablanca, notre chère belle cité, je   suis à Casa depuis l’époque du « boune » tu me reconnais   donc pas ? Je suis le vendeur d’escargots   aux « Smat » juste avant qu’on (re) construise la muraille, j’avais senti que s’en était fini de mon commerce et que les temps étaient aux changements, je suis originaire de Tamsloht (Marakech), j’ai connu quatre rois dans ma vie, ce billet c’est l’une de mes filles qui me l’a donné pour que je rentre à mon « kherbiche »